-20%
Le deal à ne pas rater :
-20% Récupérateur à eau mural 300 litres (Anthracite)
79 € 99 €
Voir le deal

Partagez
 

 and soon, the darkness ✽

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Amélia Kienig

Amélia Kienig
messages : 62
date d'inscription : 23/08/2014
âge : 30 ans
occupation : femme du président à temps plein, elle est très investie dans les actions ayant pour but d'aider les plus démunis


⊰ set fire to the rain
life song:
lovers on the sun:
tears for fears:

and soon, the darkness ✽ Empty
MessageSujet: and soon, the darkness ✽   and soon, the darkness ✽ EmptyDim 24 Aoû - 20:19


crédits : aheardgifs.

Amelia Kristin Carrington Kienig

Young women from a very young age are taught that life will be easier if you can just turn on the charming smile and say very little and be complacent and docile and sweet.



Nom(s)  Vous savez qui elle est, si auparavant elle portait un nom de famille relativement banal mais qui sonnait bien, aujourd'hui cela est bel et bien différent. Officiellement elle a gardé son nom de jeune fille, parce qu'elle y'a toujours beaucoup tenu mais vous ne la connaissez pas sous le nom de Carrington car ce n'est pas par lui qu'on l'appelle. Son visage est connu de tous, parfois même elle ce dit que l'on à pas besoin de savoir son nom ou encore son prénom, parce qu'on sait qui elle est. Elle porte donc le nom de son mari, Kienig, oui ce nom là, car elle est bel et bien la femme du président. Prénoms  Elle porte le prénom de sa mère, Amélia car celle-ci est décédée en lui donnant la vie. Elle aimerait dire que sa mère était une femme aimante et douce, mais elle n'en à aucun souvenir et personne ne parle jamais d'elle comme si elle était un sujet tabou. Son second prénom Kristin était celui que ses parents avaient choisit pour elle au départ, mais son père a préféré rendre un dernier hommage à sa femme en nommant leur fille comme elle. Date de naissance & âge De ce jour là elle ne sait rien, elle ne sait pas quel jour de la semaine c'était, elle ne sait pas quand et coment sa mère a commencé a avoir des contractions. Non, tout ce qu'elle sait c'est que c'était un 3 novembre et que c'est ce jour là que sa mère a perdu la vie. Cette date n'est pas un moment joyeux pour elle, jamais. Et cela dure depuis 30 ans déjà, jamais elle ne l'a fêté et elle sait que jamais elle ne le fêtera.  Lieu de naissance Elle n'est pas née dans un endroit exotique, non il n'y a rien d'original puisqu'elle est née à Détroit. Statut Civil Quand on est une enfant on rêve du prince charmant, de la belle histoire d'amour et de tout le reste. Beaucoup pensent que c'est ce qu'elle vit, parce qu'elle est mariée a l'homme qui détient le pouvoir, parce qu'elle à eu un mariage de rêve dans un monde emporté par le chaos. Ce fut le cas à une époque, il faut bien avouer au début elle est tombée sous son charme, et puis comme dans toute les histoires les choses ce sont détériorées ... Aujourd'hui les choses sont différentes, elle à rencontré quelqu'un. Quelqu'un qu'elle pensait être parfait pour l'aider à oublier sa vie, une histoire sans lendemain et sans prise de tête qui lui à fait du bien. Seulement les choses ne sont jamais si faciles, aujourd'hui elle ne veut plus de sa vie avec son mari, elle ne veut plus de tout ça et souhaiterais pouvoir s'enfuir loin avec l'homme qui fait battre son coeur à ses dépends ...Occupation(s) Elle à eu la meilleure éducation que l'on pourrait avoir en tant que fille de n'importe qui. Dans la famille c'est sa belle mère qui avait de l'argent, et la voir lui hérissait le poil, lui rappelant bien trop que son mari avait eu une femme avant alors on l'a mise dans une autres famille et on lui a fait suivre les meilleurs cours. Elle à toute la culture et l'éducation que l'on demande à une femme de président et cela est son occupation principale. Elle assiste aux banquets, elle fait tout ce que l'on attend d'elle mais il y'a quelque chose à laquelle elle tient plus qu'au reste. Elle c'est investit dans une association portant sur la volonté de fournir un vaccin à tout les enfants atteints de la maladie. traits de caractère Il existe en réalité beaucoup trop de contradictions dans son caractère faisant parfois penser qu'en fonction des situations elle n'est jamais la même personne. Amélia reste une personne relativement douce quand elle est en public, elle a toujours ce petit sourire réconfortant qui vous fait vous sentir mieux en quelques secondes, elle est doté de cette bonté d'âme qui ce fait rare de nos jours dans le milieu ou elle évolue. Si parfois son mari parait brusque ou froid, elle est celle qui l'humanise et enjolive les choses, elle est celle que le peuple aime et respecte. Pourtant, quand on vient à lui parler mal, ou bien à ne pas écouter ce qu'elle à dire, ou bien tout simplement a l'énerver elle sait parfaitement trouver les mots qui feront ce taire l'inconscient ce trouvant en face d'elle, car elle ne ce laisse pas marcher sur les pieds. Bien sûr cela lui est venu avec le temps, elle a apprit à devenir ainsi avec les années car elle ne l'était pas dix années auparavant. Et malgré toute les apparences, elle est impulsive, elle écoute toujours son premier instinct et fonce tête baissée. Elle était du genre à avoir très souvent envie de monter au créneau quand elle était plus jeune, elle devait se retenir de ne pas foncer dans le tas et ne pas se battre car la bienséance l'en empêchait. En apparence sure d'elle en toute circonstance c'est en réalité l'inverse qui ce passe à l'intérieur, elle n'en fait jamais part mai elle a toujours peur de ne pas être à la hauteur souvent, la peur la dévore de l'intérieur parce qu'elle sait qu'elle n'a aucune expérience dans le domaine, parce qu'elle sait qu'elle doit faire attention à ce qu'elle dit et qu'elle pourrait rapidement tout faire déraper. Bien qu'elle clame le contraire, un sentiment d'insécurité l'a toujours habité, parce que son père l'a rejetée dès qu'elle est née, parce que son mari la trompe plus que de raison, parce qu'elle ne peux pas avoir d'enfants ... La jeune femme n'a pas la langue dans sa poche ce qui vaut parfois bien des débats et des éclats de voix entre son mari et elle, ou bien n'importe qui d'autre. Elle à la chance ou plutôt l'audace de suivre certaines réunions, et quand c'est le cas on est certains qu'elle ne restera pas assise sans rien dire, c'est dans ses moments là qu'elle ce transforme qu'elle oublie sa peur et ce lève pour faire entendre ce qu'elle à a dire. Enfin, et surtout, Amélia ce donne à fond dans tout ce qu'elle entreprend. Et notamment dans le fait de porter son aide aux enfants défavorisés, beaucoup d'entre eux plus fragiles que les adultes sont atteints par le virus et cela est inadmissible à ses yeux et si le gouvernement et son mari ne font rien pour l'arrêter, elle est celle qui fera tout pour les sortir de là.



⊹⊹⊹


Fear doesn't shut you down; it wakes you up
en dépit de ce que l'on pourrait penser, la jeune femme attache très peu d'importance aux besoins matériels si ce n'est ce pendentif qui appartenait à sa mère, qu'elle affectionne particulièrement puisque c'est l'unique souvenir qu'elle possède elle n'a jamais pardonné à son père de l'avoir abandonnée, et avec les actions qu'il a commise par la suite, elle ne lui pardonnera surement jamais elle ne peux pas avoir d'enfants, et cela lui à fait beaucoup de mal quand elle a apprit la nouvelle si Jezabel n'est pas sa fille d'un point de vue médical, il en est tout autre dans son coeur et ceci même si leurs débuts ont étés compliqués elle est allergique aux piqures d'abeilles, elle pourrait en mourir si ce n'est pas pris rapidement en charge elle a aimé son mari, jusqu'à ce que les choses entre eux changent trop rapidement, aujourd'hui ils ne font que partager leurs vies respectives elle n'a plus peur de beaucoup de chose au jour d'aujourd'hui il est rare de la voir se déplacer seule, Alec refuse de risquer sa vie, alors elle est toujours accompagnée de membre de la garde qui sont chargés de la surveiller un secret demeure la concernant, elle a apprit que sa mère faisait partit d'une famille influente chez les rebelles, une découverte qui fut difficile a assimiler pour la jeune femme elle ne les à vu qu'une seul et unique fois, quand la fille de Marlon a été enlevée beaucoup la trouve trop jeune pour être mariée à Alec, et ils ont raisons, mais ils l'ont plus d'une fois sous estimer, comprenant leur erreur par la suite elle n'a plus porté de jean depuis des années, depuis qu'elle c'est mariée en fait et il faut bien avouer que cela lui manque elle est très attaché à l'aide apportée aux enfants défavorisés, ce qui à plus d'une fois créer des problèmes ente elle et son mari, car lui ne voit là qu'un moyen de rentrer de l'argent quand elle, veut réellement apporter son aide il lui est arrivé de ce rendre dans les bas quartier anonymement pour apporter de la nourriture et des médicaments si alec et elle n'ont plus la même relations qu'avant, il lui fait toujours aussi confiance elle était le genre de fille à dire qu'elle ne tromperait jamais son mari, a dénigrer les personnes qui pouvaient bien le faire mais elle ne s'attendait pas à ce que ça lui arrive elle c'est rendu compte que Marlon comptait beaucoup plus qu'elle le laissait entendre quand celui-ci à eu peur de perdre sa fille et qu'elle n'a pas été en mesure de l'aider à supporter sa douleur elle est très sportive, certainement pas le genre de femme a rester assise à un bureau elle a besoin de courir deux fois par jours elle sait très bien jouer au tennis, elle ce souvient encore de parties avec Alec ou elle le gagnait, a chaque fois elle n'a pas beaucoup d'amis proches, a cause de son statut, mais elle a la chance d'avoir Ashton dans sa vie et elle ne sait pas comment elle pourrait faire sans lui on lui a d'ailleurs plusieurs fois prêté une liaison, mais Alec les connaît assez bien pour savoir qu'entre eux ce n'est qu'une pure amitiés elle sait que si on apprenait le genre de relation qu'elle entretien avec le meilleur ami du président elle serait condamné à mort, mais elle prend le risque quand même elle n'a toujours pas pu trouver une photo de sa mère, et n'arrête pas d'en chercher pour comprendre pourquoi on dit toujours qu'elle lui ressemble elle ne connaît pas sa demi-soeur et ne souhaite pas la connaître, toujours certaine que cette fille a eu ce qu'elle aurait du avoir, l'amour d'un père elle rend très souvent visite à ses grands parents aux cimetière, ils lui manquent énormément Martha la suivit quand elle c'est mariée avec Alec, et elle ne saurait pas quoi faire si elle n'était pas là cette dernière sait d'ailleurs parfaitement ce qui ce passe avec Marlon, et l'a aidé a se couvrir plus d'une fois.


⊹⊹⊹

Célébrité Amber Heard Pseudo/Prénom Foolish Blondie/Tica Âge 22 patates Présence sur le forum always & foreverOù avez-vous connu GITD ?Je me souviens même pas !! Avez-vous pris un scénario ? Oui et non. Crédits pinterest
Code:
[b]AMBER HEARD[/b] + amélia kienig


Dernière édition par Amélia Kienig le Sam 13 Sep - 23:22, édité 9 fois
Revenir en haut Aller en bas

Amélia Kienig

Amélia Kienig
messages : 62
date d'inscription : 23/08/2014
âge : 30 ans
occupation : femme du président à temps plein, elle est très investie dans les actions ayant pour but d'aider les plus démunis


⊰ set fire to the rain
life song:
lovers on the sun:
tears for fears:

and soon, the darkness ✽ Empty
MessageSujet: Re: and soon, the darkness ✽   and soon, the darkness ✽ EmptyDim 24 Aoû - 20:19


✣ ✣ ✣
There’s too many good people who suffer for someting like that to be true like people gonna tell you love exist but it's just a dellision caus all we see one day is the pain for tell the truth and the truth is there’s no magic in the world absoluty not ... !



Je ne dirais pas qu'il me déteste, je pense que c'est trop dur pour lui de me regarder sans penser à elle ... Aujourd'hui on à sortit sa plus belle toilette, on lui a donné une robe toute neuve, on lui a coiffé comme il se doit sa longue chevelure blonde et on l'a même légèrement maquillée. Jamais on ne lui à demandé de faire ça, en général elle aime porter le même vieux jean qu'elle a troué a maintes reprises au niveau du genoux et n'importe lequel des pulls qu'elle possède. Elle ne met jamais de robe, jamais de petite chaussures, jamais elle ne ce coiffe ni ce maquille. Et pourtant la voilà, apprêté comme si elle venait d'une bonne famille, comme si elle était prête a rencontrer le président ou quiconque d'important. Pourtant ce n'est pas le cas, elle ne porte pas un nom connu de tous, elle ne connaît pas beaucoup de monde en dehors de ses camarades de l'école qui ne savent pas qui est son père. D'ailleurs, elle n'est pas certaine de le connaître elle même, elle ne l'a vu que très peu de fois et jamais ils ne ce sont parlés. Bien entendu elle sait à quoi il ressemble, car dans le couloir est au côté de tout ses autres ancêtres l'on peu voir un portrait de son géniteur avec inscrit dessous : Alexander III. Un prénom portant à confusion, ce ne sont que les grands noms de ce monde qui en portent un de ce genre, pourtant lui n'en ai pas un, il s'agit juste d'une habitude un peu stupide. On lui à dit une fois qu'elle s'appelait vraiment Amélia II car sa mère portait son prénom avant elle, mais jamais on ne le prononce et elle n'est pas certaine que cela figure sur ses papiers non plus. Elle vit dans la maison que ses parents avaient acquit peu de temps après avoir appris qu'ils allaient avoir un enfant, ses grands parents relativement riches et vieux avaient décidé de léguer leur maison à leur seul et unique fils afin qu'il puisse s'y créer une vie joyeuse avec sa famille a venir. Selon certaines personnes, Alexander était un homme toujours souriant et qui aimait de tout coeur sa femme, sans parler de sa fille qu'il chérissait déjà alors qu'elle n'avait pas une semaine et qu'elle ne formait qu'une bille dans le ventre de sa mère. Mais Amélia avait bien du mal à croire ce qu'on lui disait, selon elle et sa vision de l'homme, elle savait que son père était un homme froid et distant qui n'en avait pas grand chose à faire d'elle. Et si plus jeune elle lui en avait énormément voulu, aujourd'hui elle allait mieux. Elle savait que l'on ne parlait pas de sa mère, elle savait que c'était certainement ce qui l'avait totalement changé. C'était ça la différence aujourd'hui, c'était qu'elle savait. Quand on l'appelle elle quitte précipitamment sa chambre, on lui a répété plus d'une fois de ne pas courir mais elle n'écoute pas vraiment, aimant voir la barre ce formant sur le front de son grand père quand il ce met en colère. Elle arrive en dérapant au bas des escaliers et l'entend déjà marmonner tandis que sa grand mère lui sourit de toutes ses dents. « Tadaaam » Elle tourne sur elle même, parce que malgré tout elle est très fière de sa tenue, pour une fois elle ce sent un peu jeune fille. Âgée d'une douzaine d'années, elle commence depuis quelque temps à voir son corps changer, comme la plupart des garçons qui se moquent avec idiotie d'elle et de la plupart des autres filles. Mais ils ne savent pas de quoi ils parlent, et elle sait que dans quelques années ils finiront par le regretter. Tant pis pour eux. Elle s'approche de sa grand mère qui lui à fait signe, et qui la regarde avec un sourire chaleureux « Tu lui ressemble tellement ... » murmure t-elle en déposant sa main un peu ridée sur la joue de l'enfant qui lui sourit. On ne lui parle beaucoup de sa mère, et elle n'a jamais vu à quoi elle pouvait bien ressembler mais sa grand mère lui disait souvent qu'elle était son portrait craché. C'était peut être pour ça que son père ne pouvait pas supporter de la voir, c'était peut être parce qu'elle ressemblait tellement à sa mère que cela le perturbait beaucoup trop. Elle avait entendu parler dans les couloirs, elle avait entendu qu'il l'aimait vraiment et que tout deux faisaient rêvé les personnes qui n'avaient pas encore trouvé l'amour. C'était peut être pour ça ... Un silence c'étant installé, Martha sa nourrice vient le briser en indiquant que leurs invités étaient arrivés. Ils recevaient parfois des gens, et demandait à  Amélia si elle souhaitait les rencontrer, ce qu'elle refusait presque tout le temps. Elle ne voulait pas être celle sur qui l'on colporter des rumeurs, car même si ses grands parents n'étaient pas les plus connus ils avaient tout de même certains amis depuis des années, et chacun d'eux connaissaient réellement l'histoire de la jeune fille, chacun savaient parfaitement que son père ne l'avait jamais vraiment reconnu. Elle ne voulait pas qu'on lui pose des questions auxquels elle n'avait jamais de réponse, et encore moins qu'on embarrasse ses grands parents, alors elle restait dans sa chambre à lire la plupart du temps. Mais aujourd'hui ils ne lui avait pas posé la question, ils voulaient qu'elle soit là mais elle ne savait pas pourquoi. Rapidement les hommes et femmes de la maison les rejoignirent dans le salon, et ils se retrouvèrent en tout une petite dizaines, prêts devant la grand porte d'entrée. Elle jeta des regards à la plupart d'entre eux, elle les aimaient tous et les considéraient comme sa famille mais aucun ne le lui rendirent en dehors de Martha qui lui fit un petit sourire, avant de lui mimer de remettre une mèche folle en place. Elle s'exécuta et c'est à ce moment là que les portes s'ouvrirent. Il lui fallut un certain temps pour détacher son regard de la femme qui venait d'entrer, elle était grand et avait des cheveux ondulés bruns superbes descendant en cascade tout le long de son dos. Elle la connaissait, elle ne savait pas d'ou exactement, mais elle l'avait déjà vu quelque part elle le savait. Elle était magnifique et sa robe épousait parfaitement ses formes, laissant apparaître un ventre arrondi. Un homme se tenait derrière elle, en complet trois pièces, il avait les traits tirés d'un homme exténué mais un sourire fit place quand il posa ses yeux sur Arabella. « Maman ! » et tandis qu'il allait vers la grand mère de la jeune fille, cette dernière comprit de qui il s'agissait. Il était son père, il était Alexander III. Alors malgré l'angoisse qui commençait à l'habiter, elle commença a le détailler, cherchant des ressemblances entre eux. Elle n'en vit aucune, il était brun tandis qu'elle était blonde, son sourire semblait faux alors que le sien respirait de bonté, il était moyennement grand tandis qu'elle s'apprêtait à être assez petite, il marchait avec droiture tandis qu'elle ce laissait aller. Il semblait vieux, voir plus vieux que grand père alors que ce n'était pas le cas. Il semblait rongé, par quelque chose qu'elle ne devinerait que plus tard. Elle vit sa grand mère prendre son fils dans ses bras. Parfois elle ne la comprenait pas, elle l'entendait souvent parler avec Alexander (son grand père) et lui dire à quel point le comportement de leur enfant était inacceptable envers Amélia, mais pourtant elle était en train de le prendre dans ses bras à ce moment même.  « Que fait-elle ici ? » la question froide et brutale, l'arracha à sa contemplation et elle comprit rapidement que tout les regards c'étaient tournés vers elle. La gêne éprouvée par presque tout le monde était palpable, son père sembla poser les yeux sur elle pour la première fois de sa vie. Il resta là un instant, la bouche ouverte. La détaillant à son tour, et elle vit dans ses yeux le peu de lueur qui lui restait en train de s'éteindre. Venait-elle de faire ça ? Alors il ne la regarde plus, l'ignore complètement en se tournant vers son père. « Je croyais vous avoir dit qu'on ne voulait pas la voir. » murmure t-il ce pensant peut être discret, mais ne l'étant pas assez. Alors son coeur ce brise en mille morceaux, quand elle l'avait vu elle ne c'était pas attendu à ce qu'il la prenne dans ses bras en lui disant qu'elle lui avait manqué mais tout de même ... Elle sent des larmes pointer au long de ses joues, et sent ses pieds partir en courant avant même qu'elle n'en ai eu l'idée. Ce réfugiant dans sa chambre pour le reste de la soirée. Personne n'a essayé de venir la voir, car ils sont bien au courant que si ils faisaient ça c'était déroger aux règles, et dans un sens elle avait préféré. Plus tard elle apprendrait qu'Alexander III était venu avec sa nouvelle femme, Jennifer, et qu'ils attendaient un enfant ensembles. L'enfant qui serait reconnu comme étant le premier de la lignée Carrington. (...) Le plus insupportable reste la douleur, cette douleur lascinante la traversant de toute part. Jamais elle n'a autant souffert, et si ça a déjà été un jour le cas elle n'en à aucun souvenir. Quand elle respire ça lui fait mal, quand elle pense ça lui mal, tout est insupportable. On la prend avec des petits pincettes, on l'appelle Mademoiselle à tout bout de champs et on ose pas vraiment aller à son encontre. Seulement Martha à pu l'approcher, elle est la seule qui à vu Amélia pleurer mais aussi celle qui lui a dit. Elle avait déjà eu beaucoup de mal a supporter la perte de sa grand mère, elle avait cru ne jamais s'en remettre mais son grand père l'avait aidé, Alexander avait été d'un soutient inébranlable pour sa petite fille. Elle avait tissé avec lui un lien qu'ils n'avaient jamais eu jusqu'alors, plus tard elle apprendrais que c'était sa présence qui lui avait permis de ne pas plonger plus tôt. Elle avait été celle qui l'avait aidé dans ses derniers mois, et malheureusement elle venait de le perdre lui aussi. Un instant elle reste dans la grande demeure dans laquelle elle a grandit, debout et silencieuse. Quand finalement on s'approche d'elle, elle ne remarque pas le son des talons sur le marbre « Mademoiselle ? » la voix de Martha semble lui arriver d'un autre monde, un monde ou tout est en train de s'écrouler tandis qu'elle rêve encore de son passé. Elle ne bouge pas d'un centimètre, elle sait qu'elle en est incapable. « Nous devons partir mademoiselle ... » Elle le sait, elle sait parfaitement qu'elle doit partir. Cette maison n'est plus la sienne, pourtant c'est ici qu'elle est née, ici qu'elle a apprit à marcher, ici qu'elle a vécut ses meilleurs moments. Elle ne retient pas la larme qui est en train de couler le long de sa joue, elle la laisse couler jusqu'à arriver dans son coup ou repose un foulard qui appartenait à celle qui l'a élevée. Cette maison est maintenant celle de son père, sa grand mère avait longuement protesté contre la loi qui les interdisez de désigner Amélia comme la prochaine propriétaire car elle serait trop jeune, et non mariée. Alors en prévision, ils avaient fait construire une autre maison non loin de là au nom de Martha, afin que leur petite fille n'ai pas à vivre avec son père. « Mademoiselle, il va arriver bientôt. » La voix de Martha lui était insupportable à cet instant, parce que c'était celle qui la ramenait à la réalité. Pourtant elle savait que cette femme l'aimait comme si elle était sa propre fille, cette femme était celle qui allait lui sauver la vie pendant quelques temps.


Et alors tout à changé, et je ne sais pas si c'était pour le meilleur ou pour le pire. Il parait qu'on ne sait jamais vraiment à quel moment notre vie va changer, qu'on ne sait pas prévoir à l'avance le tournant qui fera que votre vie suivra sa destinée. Elevée dans le plus grand des secrets et dans la tranquillité, Amélia n'a jamais rien demandé à personne. Heureusement pour elle, son père l'ignorait complètement selon les souhaits de sa femme et si pendant des années cela avait blessé la jeune fille au plus haut point, elle lui en était plus que reconnaissante a présent. Car elle vivait heureuse, avec Martha et certains autres anciens hommes et femmes de maison de ses grands parents qui avaient refusé de servir son père. Elle continuait son train de vie, allait à l'école, passait du temps avec ses amis, rien de bien extraordinaire en soit, la vie tout simplement. Elle était à nouveau heureuse, ce qu'elle avait cru impossible lorsqu'elle avait du dire adieu à son grand père alors qu'elle ne s'y était pas attendu, lorsqu'elle avait du laisser tout ses souvenirs à la mercis de son père qui n'en avait rien à faire d'elle. Un jour tandis qu'elle rentrait de chez une de ses amies, Martha n'était dehors ce qui était assez étrange au vu de la chaleur de ses derniers temps, elle prenait toujours à cette heure là les quelques rayons de soleil que sa peau lui permettait de prendre. Cela inquiéta un peu la jolie blonde, qui s'empressa de rentrer dans la demeure  « Martha ? Tu ne devinera jamais ce que Corine vient de me raconter- » lorsqu'elle entre dans la cuisine, prête a retrouver sa mère de substitution. Elle retrouve cette dernière debout, comme figée sur place tandis qu'a la table de la cuisine se trouve un homme qui partage avec elle ses même yeux océan. Un instant elle sent l'air lui manquer, ce rappeler de la dernière fois ou elle l'a croisé lui fait bien trop mal, il avait refusé qu'elle soit devant pour l'éloge de son grand père qui avait été à ses yeux la seule figure paternelle qu'elle ai connue. Etait-il possible d'haïr quelqu'un à ce point ? « Tu n'a pas le droit d'être ici. » lâche t-elle sèchement. En vérité c'est la première fois qu'elle lui parle, jamais elle n'a eu l'occasion de lui adresser la parole avant. Et elle est incapable de lui dire quoi que ce soit de gentil, encore moins quand elle voit ce rictus ressemblant à un sourire s'afficher sur le visage de celui qui au final lui avait donné la vie. « J'ai tout les droits Kristin, tu devrais le savoir à présent. » Sa voix est glaciale, mais ses yeux sont tristes. Elle sait ce qui ce passe, il la déteste presque autant qu'elle le déteste car elle ressemble bien trop à sa mère, car c'est sa venue au monde qui lui à fait perdre la femme qu'il aimait. Il est même incapable de l'appeler par son prénom ... Elle reste de marbre, lui répondre serait lui donner beaucoup trop d'importance, et elle compte sincèrement rester silencieuse jusqu'à ce qu'il quitte sa maison. Pourtant, Martha ne semble pas l'entendre de cette oreille « Mija, écoute ce qu'il a à dire. » elle regarde celle qu'elle a toujours cru être de son côté avec une expression de surprise profonde, est-elle vraiment en train de changer de côté. « Tu devrais écouter la domestique. » Et ce mot la fait tiquer, le rouge lui monte aux joues et si elle n'avait pas appris a respecter l'étique elle serait déjà en train de lui mettre un coup de poing dans son visage parfaitement proportionné. « Ne l'appelle pas comme ça. » jamais elle n'a été dans un état similaire, les dents et les poings serrés, elle lutte contre l'envie de lui sauter à la gorge et ça ce sent clairement dans toute la pièce. Elle rêverait parfois de ne pas savoir qui il est, d'avoir été abandonnée enfant, tant pis mais au moins ne pas l'avoir ici à ce moment précis en face d'elle. Il la regarde sur un air de défis, elle serait incapable de dire si la façon qu'elle à de lui parler lui fait quelque chose ou non. Elle ne savait pas qui était cet homme en face d'elle, elle ne connaissait rien de lui et avait apprit avec le temps, qu'elle ne voulait vraiment rien savoir. Finalement il inspire lourdement, comme fatigué d'être ici, elle trouve que c'est un bon signe qu'il va partir, mais non. « Je ne suis pas là de gaité de coeur, je suis là parce que j'ai besoin de toi. » La réflexion la fait rire, d'un rire nerveux qu'elle ne peux plus contrôler. Jamais vivante elle n'aidera cet homme, qui n'est rien d'autre pour elle que son géniteur, rien ne les relient, et rien ne l'oblige à faire quoi que ce soit elle le sait. Pourtant après éclaircissement de la situation elle sait aussi qu'elle n'a pas le choix. La menace plane, si elle ne l'aide pas, il ne ce généra pas pour faire en sorte que tout le monde soit expulsé de cette maison, qu'elle soit à son nom ne pourrait rien y changer. Elle pouvait sauver les meubles, elle pouvait aider ses personnes qu'elle considérait comme sa famille en se prêtant au jeu de la famille parfaite pour un seul et unique soir. Elle n'eu pas a réfléchir longtemps, et si cela la dégoutait outre mesure, elle joua le jeu sans ce rendre compte qu'elle allait changer le court de sa vie. (...)

I look and stare so deep in your eyes  touch on you more and more every time when you leave, I'm begging you not to go Ce sentiment ne l'a jamais habitée jusqu'alors, comment était-il possible que cela arrive aujourd'hui ? La première fois qu'elle l'avait vu elle l'avait trouvé énigmatique, mystérieux et cela l'avait tout de suite attirée. Il devenait le bras droit d'Alec, c'était officiel à présent que son mari aller placer en lui toute sa confiance. Ce même mari qui ne la regardait plus comme il la regardait auparavant, entre eux les choses avaient complètement changées et cela devenait compliqué pour eux de conserver la même complicité que celle qu'ils avaient auparavant. « Amélia ? » la voix rauque du président de la ville arrive à ses oreilles et tout à coup la voilà de nouveau sur terre. Elle relève la tête en le regardant, attendant de savoir ce qu'il souhaite lui dire. « On pourrait inviter Marlon a diner non ? Avec sa fille. » L'idée n'était pas mauvaise en soit, il devait garder un bon contact avec les membres l'entourant, ils étaient les personnes en qui il avait le plus confiance après tout. Fixant son reflet dans le miroir à pied, elle reste silencieuse un instant avant de murmurer que ce serait une bonne idée en effet mais au fond elle sait que s'en ai une très mauvaise. A chaque fois qu'ils sont dans la même pièce il leur est plus difficile de se contenir que nécessaire, malgré tout ce qu'ils peuvent vouloir faire il lui est impossible de ne pas vouloir le toucher ou sentir la peau de Marlon contre la sienne. Au début elle avait eu peur que cela ce lise sur son visage mais elle c'était rendu compte qu'ils s'en sortaient bien quand dès le premier repas Alec avait affirmé que son nouveau bras droit était la personne en qui il avait le plus confiance en dehors d'elle. Elle savait parfaitement que si son mari venait à découvrir sa relation avec Marlon, elle serait déjà prête a être exécutée sur la place publique. Elle savait qu'elle devait s'arrêter, mettre un terme à tout cela mais elle en était incapable, c'était sa drogue. Alors elle sent des mains sur ses épaules dénudées et le frissonnement qu'elle éprouve n'a rien avoir avec un quelconque plaisir. « Je lui en parlerais ce soir alors. » Elle n'a qu'une envie qu'il aille le plus loin possible d'elle, elle soupire. Bon sang encore une soirée pendant laquelle il va tenter de consolider ses liens avec les personnes importantes de la ville. Elle ne supporte pas ses moments là, bien sûr toute femme normalement constituée aimerait que l'on fasse tout pour qu'elle soit magnifique mais cela désolait considérablement Amélia. L'argent qu'ils allaient dépenser dans cette soirée aurait été beaucoup plus utile pour toute ses personnes dans le besoin se trouvant au dehors de leur demeure ... Elle ferme les yeux en inspirant presque de dégout quand il dépose un baiser sur sa joue parfaitement maquillée. « Très bien. » murmure t-elle. Avant qu'il ne puisse faire un nouveau geste vers elle, elle ce lève et attrape ses talons qu'elle prévoit d'enfiler les fesses sur leur lit, un peu plus loin afin qu'il ne se remette pas a poser ses mains sur elle. Le fait est qu'il à des relations avec d'autres femmes, beaucoup d'autres femmes et en soit cela ne la dérange pas ou tout du moins cela ne la dérange plus. « C'est Martha qui à choisit ton costume ? » La question est banale, sans sous entendus particuliers, elle essaie de le faire changer de sujet parce que parler de Marlon avec lui n'est pas du tout sa discussion favorite. Il acquisse se regarde à son tour dans le miroir et semble apprécier le résultat. « Il te donne une certaine allure, on a envie de te faire confiance, il est parfait. » assure t-elle avec un sourire mitigé. Finalement prête elle ce relève et sa robe traine derrière elle en une longue traine de dentelle rouge. Les cheveux relevés en arrière, elle est enfin libre de tout mouvement, ce masse la nuque avant de finalement regarder son mari qui lui sourit plus que d'habitude « Tu est superbe Amélia. » Elle souffle un merci avant de passer devant lui pour sortir de leur chambre. Dehors plusieurs personnes les attendent, notamment les gardes du corps d'Alec toujours présent derrière leurs basques afin de les protéger. Après une grande inspiration elle accepte la main qu'il lui tend, et c'est ensembles qu'ils se rendent jusqu'à la salle de réception ou on les attend avec impatience. La salle est pleine, tellement de personnes souhaitent avoir la reconnaissance de son mari que parfois cela lui fait tourner la tête, elle sait précisément ce qu'il fait et que d'autres adhérent parfois à ses idées cela ne donne rien de bon. La voilà en train de sourire à des gens qu'elle ne connaît ni d'Eve, ni d'Adam avant qu'elle ne le voit. Comment rater ce regard qui la dévore des yeux ? Elle pourrait rougir à l'instant précis mais dieu merci elle arrive à le contrôler. Rapidement il ne la regarde plus, Alec vient d'arriver à ses côtés et tout deux se mettent à parler tandis qu'elle rejoint les femmes de ses messieurs toute aussi bien apprêtées les unes que les autres et ne semblant pas trouver leur place dans ce monde dirigé par leurs maris. Rapidement elles parlent dernières mode et potins. « N'êtes vous pas du même avis Amélia ? Monsieur Quinlan ne devrait pas rester célibataire, c'est un gâchis ! » Elle garde son verre en suspend alors qu'elle s'apprêter a boire le plus possible de champagne. Son regard océan ce pose alors sur Madame Silver, une femme bien plus âgé qu'elle et qui l'a toujours plus ou moins dénigrée à cause de son jeune âge. Pourtant la voilà de nouveau en train de sourire avec hypocrisie « Vous avez bien raison Lyra, il est indécent de savoir le bras droit sans femme dans sa vie. » Elle connaissait son histoire, elle savait qu'il avait été marié et que sa femme avait été assassiné. C'était une histoire horrible dont ils n'avaient jamais parlé. Elle ne ce sentait pas comme étant la personne à qui il pouvait en parler, et puis ce n'était pas leur activité principale. Rapidement elle ne participe plus aux conversations autour d'elle, ce n'est pas le genre de chose qui l'intéresse de savoir quel note leurs enfants ont eu d'ailleurs elle ne voulait pas faire partit de toute ses histoires sur les enfants. Elle même ne pouvait pas en avoir, et si cela l'avait d'abord dévastée aujourd'hui elle arrivait a faire avec, a surmonter le fait que jamais elle ne serait une maman. Alors ses yeux sont attirés quelques mètres en arrière, cette personne elle la connaît parfaitement. Un instant son coeur manque un battement, et puis elle s'excuse auprès de ses amies d'un soir car elle sent qu'elle ne va pas bien, elle s'éclipse le plus rapidement possible dans un couloir désert après qu'on lui ai proposé de l'accompagner et qu'elle n'ai décliné l'offre de son garde du corps. Elle a mal à la tête, et sent son ventre qui lui fait plus mal que de raison. Elle dépose sa tête sur le mur frais du couloir tentant désespérément d'oublier que son père est là ... Ce n'est pas la première fois qu'ils se retrouvent tout les deux dans une même pièce mais à chaque fois cela la rend toute chose. Elle ne supporte pas de le voir, elle ne supporte pas de l'entendre parler de sa femme et de sa fille, c'est tout bonnement impossible à ses yeux. Elle ce demande parfois comment elle aurait fait si Alec n'avait pas comprit qu'elle ne voulait pas avoir affaire à son père, exit les dimanches en famille et la preuve tangible d'une famille soudée car ils ne l'étaient pas. Respirer commence à être difficile pour elle, cette robe la serre beaucoup trop fort et elle souhaite juste partir loin d'ici plutôt que de voir à nouveau la face de cette ordure. « Madame Kienig ? » elle ce détourne rapidement, cherchant à cacher les larmes qui viennent de couler. Cependant elle ce calme en voyant le visage de Marlon, dans ses yeux danse cette passion qu'elle aime tant voir. Il semble cependant un peu inquiet, rapidement elle reprend de sa contenance avant de le regarder dans les yeux « Monsieur Quinlan, que faîtes vous ici ? » Rapidement elle est redevenue la jeune femme que l'on à l'habitude de voir, elle garde toujours ce visage impassible et ce regard sensuel, encore plus lorsque Marlon se trouve ici. Il la regarde un instant suspicieux, pas sûr de savoir si il peut lui demander comment elle va surement. Mais elle ne lui laisse pas le temps de dire quoi que ce soit, rapidement elle lui attrape sa main et l'attire derrière elle dans un bureau ce trouvant ici. Elle ce fiche de savoir à qui il appartient, elle ce fiche que son mari soit dans la pièce a côté il est bien assez occupé pour ne pas remarquer son absence. Après s'être assurée d'avoir fermer la porte comme il se doit, elle passe ses mains dans le cou de Marlon avant d'attirer son visage vers le sien et déposer ses lèvres contre celle du bras droit d'Alec. Rapidement elle fait courir ses mains sur sa chemise avant de la sortir de son pantalon afin de retrouver le contact de sa peau. Il commence à couvrir de baiser son cou, sa poitrine et chaque parcelle de son corps mis à découvert. Chaque baiser laissent sur sa peau une trainée de chaleur, et elle sait que c'est de ça dont elle besoin. Elle rit dans son oreille quand il frôle ses hanches en la chatouillant, et s'accroche à lui. Ils vont profiter du corps de l'autre dans cette pièce comme ils l'ont déjà fait plus d'une fois, clamant qu'ils n'ont pas besoin de plus, que ce qu'ils ont est parfait pour les faire oublier. Ce mentant clairement à eux mêmes en même temps qu'ils mentent aux autres. (...) Avec Marlon les choses étaient simples, c'était tout ce qu'il y'avait de plus charnel entre eux. A ses yeux il était l'homme qui la faisait oublier, l'homme qui la faisait sentir femme, celui qui bien des fois arriver a lui donner de la force mais c'était tout. Ils ne parlaient jamais de leurs passé respectifs, elle ne connaissait pas grand chose de l'histoire de sa femme en dehors de ce qui était connu officiellement et lui ne savait pas très bien les déboires qu'elle avait pu vivre. Ils se retrouvaient, profitaient pleinement du corps de l'autre, parlaient parfois politique et c'était tout. Pourtant malgré tout ce qu'elle pouvait ce dire, il était la personne avec qui elle avait été la plus intime, même avec Alec elle ne c'était pas aventuré sur des terrains aussi intimes qu'avec Marlon. Pourtant elle pensait naïvement que cela n'allait pas plus loin que le désir, et elle vivait très bien comme ça. Jusqu'à ce qu'on annonce à Marlon, en plein milieu d'un repas, que sa fille avait été enlevée par les rebelles. Tout le monde connaissait l'animosité qu'il pouvait éprouver à l'égard du groupe dissident, et tout le monde savait plus encore que sa fille était la personne à qui il tenait le plus au monde. Elle l'avait vu changer du tout au tout si rapidement, elle avait pu sentir l'espace d'un instant la détresse qu'il avait ressentit. Elle n'avait pas d'enfant, et n'en aurait jamais mais cela ne pouvait pas l'empêcher pour autant de comprendre ce que l'on pouvait ressentir à cet instant précis. Alors il était partit sans même qu'elle n'ai pu lui dire quoi que ce soit, ni même lui proposer de l'aide, et dans un sens elle savait que c'était peut être mieux comme ça car ça aurait été malvenu de sa part. Elle n'avait pas sa place dans cet horreur, elle n'avait pas à lui apporter son soutient, à lui demander de ce confier, elle n'était pas celle qui devait le soutenir. Elle le savait, ils n'avaient pas ce genre de relation, ça dépassait leur entendement et pourtant ... Au bout d'une semaine elle ne tient plus, n'ayant plus de nouvelles, ne sachant pas ou l'enquête en est, elle traverse rapidement le couloir menant au bureau d'Alec. Elle entre sans frapper, comme toujours, surprenant les quelques personnes présentes qui parlent à présent avec Alec. On la salue avec respect, elle répond de manière plutôt sèche quand Alec comprend qu'elle veut lui parler, seulement à lui. Attendant que la pièce ce libère, elle ce sert un verre de l'alcool le plus fort qui se trouve ici, et en sert un second qu'elle tend à son mari  « Tu l'a retrouvée ? » elle tente de cacher l'angoisse cachée dans sa voix. Il attrape le verre et s'apprête à l'apporter à ses lèvres quand il stoppe son geste en soupirant.  « Aucunes traces. » Comment est-ce possible ? Une fille ne disparait pas comme ça, encore moins une fille aussi importante que la fille de Marlon. Finalement elle ne pourra pas boire ce verre, elle le repose presque dégoutée et finit par avancer jusqu'à la grande fenêtre du bureau, endroit qui était avant son favoris. Elle réfléchit longuement à ce qu'elle va dire, bien entendu cela lui est passé par la tête toute la semaine mais elle n'avait pas encore eu le courage de le dire à haute voix. « Je pourrais ... » commence t-elle, mais comprenant parfaitement ou sa femme souhaite en venir, Alec l'a déjà coupée et c'est levé le regard méfiant. « Non. » Il semble catégorique, avant même qu'elle n'ai prononcé ce qu'elle à dans le cerveau il refuse qu'elle ne fasse quoi que ce soit. Parfois elle oublie qu'à une époque il l'a aimé, assez pour la connaître encore un peu. Elle soupire et se tourne vers lui à son tour, elle sait qu'elle a raison et dans le fond lui aussi le sait parfaitement bien. « Je t'en prie Alec, tu sais que c'est la meilleure des solutions et je - » comme souvent dans leurs disputes il vient de lever la main pour y mettre fin. Et si le regard de la jeune femme pouvait tuer, le président serait ratatiné sur place à l'instant précis. Elle n'en peux plus mais tente de ce retenir le plus possible. « Il est hors de question que je te demande de faire ça Amélia. » Car il savait ce que cela signifiait. Malgré tout ce qu'ils avaient vécu récemment, il savait que contacter la famille de sa mère était une épreuve pour la jeune femme. Il savait que découvrir ce que son père lui avait caché pendant toutes ses années lui avait fait plus de mal encore que tout le reste. Elle avait prit seule la décision de ne jamais plus entrer en contact avec sa tante et son oncle, partis prenant de la lutte rebelle. Elle avait une famille de leur côté, elle avait encore des gens qui l'aimaient mais elle avait été incapable de garder le contact avec eux parce que c'était trop dur. Et en dépit de ce qu'elle avait cru, Alec l'avait beaucoup aidé, il lui avait proposé d'arranger des rendez-vous entre eux si elle le souhaitait, il lui avait assuré que cela n'était pas important que sa famille soit rebelle ou non. Tout comme elle lui avait dit qu'a ses yeux, ils n'existaient pas. Ils l'avait laissée seule avec son père quand ses grand parents étaient décédés et elle n'avait pas encore réussit à leur pardonner cela. Elle inspire finalement pour ce donner plus de courage et s'approche de son mari avant de déposer ses mains tièdes sur ses avants bras. Après avoir attrapé son regard elle sait ce qu'elle doit lui dire. « Tu ne me demande rien Alec, je te le propose. Marlon est ton plus proche ami, tu ne peux pas gâcher cette opportunité de lui ramener sa fille. J'irais les voir que tu le veuille ou non. » Elle lui lance un sourire, le genre de sourire qui les fait tous craquer et qui marche à chaque fois. Elle sait que cette fois c'est plus important, trop important pour remporter la manche avec un sourire. Mais Alec le sait, c'est la meilleure chose à faire car tout le reste n'a pas fonctionné jusqu'à présent. « Tu n'y va pas toute seule. » Et elle y était allée avec Steve, son garde du corps personnel qui avait promis de garder le secret sur cette rencontre. Après des cris et des larmes, elle avait réussit à obtenir ce qu'elle souhaitait.


Dernière édition par Amélia Kienig le Mer 3 Sep - 19:55, édité 11 fois
Revenir en haut Aller en bas

Marlon Quinlan

Marlon Quinlan
messages : 94
date d'inscription : 17/08/2014
âge : trente-huit ans
occupation : vice-président au sein du gouvernement de Détroit


and soon, the darkness ✽ Empty
MessageSujet: Re: and soon, the darkness ✽   and soon, the darkness ✽ EmptyDim 24 Aoû - 20:49

hey sexy lady  and soon, the darkness ✽ 2204630689 and soon, the darkness ✽ 2204630689 
Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas

America Jones

America Jones
messages : 291
date d'inscription : 08/08/2014
âge : 26 ans
occupation : Elle est conseillère du président officiellement, officieusement elle donne des informations aux rebelles


⊰ set fire to the rain
life song: feel it coming ♫ nikitch
lovers on the sun:
tears for fears:

and soon, the darkness ✽ Empty
MessageSujet: Re: and soon, the darkness ✽   and soon, the darkness ✽ EmptyDim 24 Aoû - 22:19

VIENT DANS MON LIT TOUT DE SUITE and soon, the darkness ✽ 3689677465  and soon, the darkness ✽ 1939854750 and soon, the darkness ✽ 1939854750 and soon, the darkness ✽ 2916020910 and soon, the darkness ✽ 2916020910 and soon, the darkness ✽ 2916020910 
Revenir en haut Aller en bas

Mila Quinlan

Mila Quinlan
messages : 113
date d'inscription : 16/08/2014
âge : 21 ans la majorité officielle .... mais son père ne la pas encore bien assimilé
occupation : Elle est infirmière au Highland Park General Hospital, elle adore son travail et fait toujours tout son possible pour aider ses patients.


⊰ set fire to the rain
life song: Lost stars ✽ Adam Levine
lovers on the sun:
tears for fears:

and soon, the darkness ✽ Empty
MessageSujet: Re: and soon, the darkness ✽   and soon, the darkness ✽ EmptyLun 25 Aoû - 10:21

hep hep hep !!! on se calme là :excited: :excited:
y'a des enfants ici!!!

ma future nouvelle maman est canon quand même :amen: :amen:
Revenir en haut Aller en bas

Amélia Kienig

Amélia Kienig
messages : 62
date d'inscription : 23/08/2014
âge : 30 ans
occupation : femme du président à temps plein, elle est très investie dans les actions ayant pour but d'aider les plus démunis


⊰ set fire to the rain
life song:
lovers on the sun:
tears for fears:

and soon, the darkness ✽ Empty
MessageSujet: Re: and soon, the darkness ✽   and soon, the darkness ✽ EmptyMer 3 Sep - 13:57

Que dire de ma future belle fille ouah
Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé


and soon, the darkness ✽ Empty
MessageSujet: Re: and soon, the darkness ✽   and soon, the darkness ✽ Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

and soon, the darkness ✽

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
crazyteam :: 
can't hold us
 :: Little white lies :: Jump and touch the sky
-
votez pour nous
choisissez votre camp
and soon, the darkness ✽ RcKSI7K GOVERNMENT MEMBERS and soon, the darkness ✽ HMKi9r3 CITIZENS and soon, the darkness ✽ J0kc2qh REBELS
bande-originale du mois
and soon, the darkness ✽ Play